Les Psynews

Restons à jour!

Bienvenue dans l’espace des PsyNews, notre fil d’actualités autour de la Psychologie en Suisse-Romande et ailleurs, avec des nouvelles politiques sur le métier du Psychologue en Suisse, des conférences, formations, congrès locaux ou internationaux ou encore d’éventuelles manifestations artistiques en lien avec la Psychologie. Finalement, cet espace permet également la promotion de nouvelles activités professionnelles de Psychologues exerçant en Suisse-Romande (ouverture d’un cabinet, création d’un nouveau site internet, etc). Le but étant de nous aider mutuellement à rester le plus à jour possible sur ce qui se passe de nouveau dans le domaine de notre métier si vivant et si complexe, même « juste » sur une échelle suisse ! ;-)

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14 janvier 2019

« Même un master n’offre plus la certitude d’une entrée facile sur le marché de l’emploi »

Le sociologue Louis Chauvel révèle les inégalités d’accès à une intégration rapide sur le marché du travail et dans la vie d’adulte pour les étudiants. Pour le sociologue Louis Chauvel, professeur à l’université du Luxembourg et auteur de l’essai La Spirale du déclassement (Seuil, 2016), l’accroissement continu du nombre de diplômés ne permet pas une insertion satisfaisante des étudiants sur le marché du travail. Une citation de Sigmund Freud résumerait bien la situation française : « L’éducation pèche en ne préparant pas l’être jeune à l’agressivité dont il est destiné à être l’objet. (…) [Elle] ne se comporte pas autrement que si l’on équipait de vêtements d’été et de cartes des lacs italiens des gens partant pour une expédition polaire. »

Ecrit par Alice Raybaud - Le Monde

5 janvier 2019

Schizophrénie: 2019, l’année du changement de nom ?

Oui, la schizophrénie fait peur. Il n’y a pas un mois sans que les médias focalisent sur la pathologie d’un meurtrier pour expliquer son geste. Une analyse très réductrice qui stigmatise les personnes touchées par la maladie. Mais le monde médical et les familles se mobilisent pour changer son nom.

Ecrit par Didier Morel - France Culture

4 janvier 2019

NON Monsieur Houellebecq, la sérotonine ne fait pas le bonheur !

« Docteur, je dois manquer de sérotonine ! » J’ai entendu cette phrase des dizaines de fois au cours de mes consultations de psychiatre, et la sortie du dernier livre de Michel Houellebecq, intitulé « Sérotonine » risque fort d’amplifier le phénomène. Certes, la sérotonine joue un grand rôle dans la régulation de nos émotions et de nos humeurs, favorisant calme et stabilité. Mais, n’en déplaise à Michel Houellebecq, lui prêter la faculté de rendre heureux, c’est aller un peu vite en besogne.

Ecrit par Antoine Pelissolo - www.latribune.fr

3 janvier 2019

Freud, Colosse Scopique

Pour la première fois en France, une exposition illustre la pensée du célèbre Viennois, père de la psychanalyse, et insiste sur son rapport à l’image à travers une sélection de 200 œuvres et objets. Par Clément Bénech — 3 janvier 2019 Exposition: Sigmund Freud. Du regard à l’écoute Musée d’Art et d’Histoire du judaïsme, 75003. Jusqu’au 10 février.

Ecrit par Clément Bénech - Libération

24 décembre 2018

RENTABILITÉ AU LIEU D’EFFICACITÉ: UNE PSYCHOLOGUE VALAISANNE DÉNONCE

24.12.2018 Des objectifs de rentabilité qui dépassent l’entendement. Sarah, psychologue valaisanne, dénonce. Parallèlement, Anne Guidoux, présidente de l’Association des psychologues du Valais, se bat pour que le modèle actuel de délégation soit remplacé par un modèle de prescription. En clair, il faut que les psychologues-psychothérapeutes puissent être remboursés par l’assurance-maladie, sans dépendre d’un psychiatre.

Rhône FM

22 décembre 2018

Joyeusetés freudiennes, nouveau livre de René Pommier

Dans Joyeusetés freudiennes, René Pommier décortique trois des textes les plus loufoques du père de la psychanalyse. Selon les critiques une « occasion rêvée de se payer une bonne tranche de rigolade pour les fêtes de fin d’année ! »

Ecrit par Nicolas Gauvrit - scilogs.fr

5 décembre 2018

LE VALAIS ET LA SUISSE MANQUENT CRUELLEMENT DE PSYCHIATRES

Ce n’est pas un secret. Le milieu de la santé fait régulièrement état du sentiment de pénurie qu’il ressent dans ses différentes filières. Un secteur particulièrement touché est celui de la psychiatrie. La formation est boudée par les médecins en devenir. Aujourd’hui seuls 3% des étudiants se tournent vers la branche, contre presque un tiers il y a 30 ans. Résultat: la Suisse comble son manque avec la main d’œuvre étrangère. Pas forcément idéal, selon Eric Bonvin, directeur général de l’Hopital du Valais.

Ecrit par Oriane Binggeli - rhonefm,ch

16 novembre 2018

Les psychothérapeutes exigent de mettre fin à leur discrimination

Les psychologues-psychothérapeutes se sentent discriminés dans le système de santé et le font savoir. Ils ont remis vendredi à Berne 3658 lettres au conseiller fédéral Alain Berset. Ils exigent que leur profession soit enfin reconnue par l’assurance de base. Les associations de psychologues-psychothérapeutes dénoncent le fait que malgré “leur qualification pour exercer leur activité en toute indépendance, diplôme à l’appui, l’assurance de base les assimile en réalité toujours au personnel auxiliaire”, écrivent-elles dans un communiqué. “Le système actuel de délégation est indigne. Il s’agissait d’une solution transitoire, limitée dans le temps”, estime Yvik Adler, coprésidente de la Fédération Suisse des Psychologues (FSP), à l’occasion de cette action menée devant le Département de l’intérieur (DFI). Elle rappelle que la loi qui régit la formation post grade des psychologues est en vigueur depuis 2013.

laliberte.ch

16 novembre 2017

Où en est la refonte de la psychiatrie jurassienne ?

Le Gouvernement a fait le point sur la réorganisation de la psychiatrie jurassienne dans sa réponse à une question écrite. Si l’organisation générale reste à définir, plusieurs projets sont en développement.  

rfj.ch

7 juin 2012

AI: NOUVELLES DIRECTIVES POUR LES EXPERTISES PSYCHIATRIQUES DE L’AI

Les expertises psychiatriques pour le compte de l’AI sont d’une qualité insuffisante et trop différentes d’une région à l’autre. Tel est le constat d’une étude mandatée par l’Office fédéral des assurances sociales (OFAS). Les médecins chargés d’évaluer des personnes souffrant de troubles psychiques pour le compte de l’AI se heurtent à une difficulté particulière: la qualité des examens cliniques en psychiatrie dépend fortement de la motivation et de la collaboration des personnes à expertiser, rappelle l’OFAS jeudi dans un communiqué. Pas d’instruments objectifs La psychiatrie ne peut en effet guère s’appuyer sur des résultats aussi objectifs que, par exemple, un scanner en traumatologie. Il est notamment difficile d’évaluer la capacité fonctionnelle d’une personne souffrant de troubles psychiques. Or celle-ci joue un rôle clé dans l’AI, puisque la capacité de gain des assurés en dépend.

lematin.ch