Les gènes de la solitude
6 août 2018
Ecrit par Claire Heitz - Cerveau & Psycho
En France, une personne sur dix vit isolée. Or les études épidémiologiques montrent que la solitude, souvent liée à la dépression en particulier chez les personnes âgées, est aussi nocive pour la santé que le tabagisme ou l’obésité.
Pourquoi certaines personnes ont-elles tendance à fuir les relations sociales ? Une équipe de l’Institut de la science métabolique de l’université de Cambridge, dirigée par Felix R. Day, vient de révéler que la propension au repli sur soi (ou, inversement, le goût des interactions sociales), pouvait être exprimée par certains déterminants génétiques. Le tempérement solitaire serait prédit à 98 % par seulement 15 gènes.
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Cet article a été intégré par Marion Coriton